Nous pourrions passer des jours et des nuits à débattre tellement il y a de choses à dire, évidemment. Je vais passer la parole maintenant à Adama Dieng et j’aimerais, avant de lui passer la parole, dire simplement quelques mots.

Je tiens à remercier tout particulièrement les étudiants de mon cours de droit international pénal qui nous ont aidés dans l’encadrement.

(Applaudissements)

Je songe en particulier à : Céline Bauloz, Clément Emery, Alicia Giraudel, Élise Hansbury, Fara Ndiaye et Ivonna Truscan. Je souhaite également remercier Aline Baumgarnter, de l’ADH. Je ne saurai oublier les chevilles ouvrières de ce projet qui travaillent avec nous depuis longtemps : Sylvie Capitant pour son travail tout à fait crucial et décisif, comme chacun a pu l’apprécier, et également Christophe Golay, qui a beaucoup œuvré à la préparation de ce colloque.

Pour terminer, je souhaiterai adresser mes plus vifs remerciement aux personnes qui ont permis ce colloque, c’est‑à‑dire à vous toutes et vous tous puisque, finalement, c’était là le grand pari et l’enjeu. Je remercie donc les membres du Tribunal, mais également toutes les autres personnes qui ont eu la gentillesse de venir partager leur expérience.

Je donne la parole à Monsieur Adama Dieng, qui a beaucoup œuvré également pour la réussite de ce colloque.